Attendez Moi! -suite 1

Déjà, pour Moi, le fait de le supposer entre dit que les réponses ne nécessitent que la mise en scène des questions.

-1 ;

-" Mes premières impressions ont toujours rejoins les dernières, avec cette notion étrangère de reconnaître malgré tout : que ceux ou les faits qu’ils produisent, se rangent dans ma mémoire consciente, accoutumée aux surprises pour mon désagrément. "-

-2 ;

-" Tu me rappelles cette demoiselle se supposant irrésistible, donc persécutée !

Quand je lui ai exprimé la confusion que suppose la raison de ses propos, elle entreprit de me prouver la nature de ses atouts !"-

-1 ;

-" Le rapprochement est reluisant… Et cette tournure débarque de quelle culture ?

-2 ;

-" Une réalité, sans laquelle l’illusion n'incarnerait personne !"-

-G’ ! ;

-" Veuillez bien m’exterminer si ma transposition vous gène, mais j’ai l’impression qu’une certaine confusion vous a attrapée tous deux par la tringle… "-

-T’ !;

-" C’est vrai çà, vous vous exercez en direct avec des tendances que n’importe quel tordu peut proposer être très mode avant lui !"-

-Crhmm, s’adressant à 1 ;

-" Illusion portable ?

Avec quelques bardas, portés par quelques bretelles ! "-

-2, vers Crhmm ;

-" Pour tenir quoi ? "-

-Crhmm ;

-" Stop ! Il est peu recommandable d'engager maintenant, une quelconque ou très frétillante fâcherie entre les intercalaires de cette conversation… Plus loin peut être ! "-

-2, vers Crhmm et G’ ! ;

-" À bien vouloir vous regarder jouer les arbitres, je pense que le silence définitif qui risque de nous suivre, n’a que le sens unique de vos arguments. "-

-1 ;

-" Héé ! Quand je m’adresse à 2, je ne vois pas en qualité de quoi vous jugez nécessaire d’intervenir ! "-

-T’ !, Vers Je ;

-" Comme mon sur locataire !

Quand il est perturbé, il traque nerveusement son ménage avec son blaireau, puis part à la recherche d’une de ses voisines confidentes, pour partager leurs inquiétudes pour les histoires d’autrui, avec leur façon de les considérer. "-

-2 ;

-" Je croit également savoir traduire les velléités que nous pouvons avoir les uns pour les autres. Il nous conte que les acquis de l’interdit sont indispensables, ne serait-ce que pour clouer le cycle des ressentiments. "-

-G’ ! ;

-" Il faut croire que les formes rhétoriques intègrent une sorte d’entité qui emprunte indifféremment les personnes, réfléchissent par elles, puis concrétisent leurs opérations au détriment de l’individu

accaparé. "-

-Crhmm, vers 2 ;

-" H’m’n’euh ! … Quel genre d’atout t’a montré la demoiselle ? "-

-2, vers 1 et Crhmm ;

-" Certaines parades du comportement, n’avantagent que des attitudes plus animales que réfléchies… Ma nature conditionne ma conscience, et mes incertitudes limitent mon individualité.

Nous préférons tous avoir un rôle que nous appelons ‘notre personnalité’, même si avec elle nos censeurs mentaux distinguent au-delà de toutes propositions, les limites qu’elles sous-entendent.

Les besoins de jouer s’ajustent à la normalité des comportements par instinct de conservation, dans la mesure des rapprochements. "-

-Crhmm ;

-" Peut-être qu’à ta manière de ne pas répondre, tu peux ajouter un complément d’information tout aussi approprié ? "-

-2 ;

-" Par une suite d’ondulations corporelles et de clichés dignes des cabarets pour hommes seuls, elle prit un ton très intime, me frôla pratiquement avec tout son corps comme une maniaque attablée sur un matelas, à plusieurs reprises. Puis subrepticement, réussit à sortir mon sexe déjà à l’étroit dans mes affaires avec ses mains, pour apparemment envisager de me l’arracher avec les dents, jusqu'à ce que je m’extirpe à l’envolée pour lui mettre mon pied sur la gueule ! Suivant quoi, après s’être hasardée contre le mur, elle répondit ;

‘‘Enc’hcore !’’ … Avec des soubresauts convulsifs !"-

L’assistance, dans un assemblage d’airs hagards, laisse à T’ ! l’initiative de continuer l’interrogatoire.

-T’ !;

-" Peut-être a t’elle voulu réintroduire une forme de persécution dont elle est restée dépendante ?

Son corps objet restant le seul moyen de reporter des sensations qu’elle a trop mal reçues pour comprendre ce qui lui est arrivé.

Sa façon de te pousser à réagir comme elle peut se ressentir : montre à quel point les plaisirs intenses doivent dans son cas dépasser des préliminaires, pour atteindre très vite une jouissance qui la déculpabilise de cette manière violente d’être, au moins ;

‘Aimée’…Et toi, tout à coup, tu l’admets pour ensuite te mettre en phase de rejet, juste pour te rassurer de ce que tu es toi aussi !

Avoir été séduit avec une moralité qui te persécute, par le jeu d’une comédie aussi aboutie pour toi et, ne pas reconnaître ta participation : te culpabilise t’elle vraiment pour autant ? "-

-2 ;

-" Tu aimes sans doute trop tes questions pour apprécier mes réponses ! Ce qui l’a surtout motivée ressemble plus à un jeu de rôle lui permettant de se mettre à ma place ! Et moi à la sienne ! C’est dans ce genre de ritournelle profonde que viennent se conclure les heurts et les déclamations de ces humains que l’on dit : de Sexes opposés !"-

-1 ;

-" Voire, ‘contrariés’ !"-

-G’ ! ;

-" Il faut absolument que nous entretenions nos monologues sans retenues, parce qu’apparemment il faut peu de chose pour en devenir Spécialistes !"-

-Je ;

-" Vos grandes franchises se disputent avec quoi exactement ? "-

-Crhmm ;

-" Bon ! Je me suis donné un rends-toi au restaurant à trois laps d’ici, à plus loin ! "-

À sa suite, à part 2, les autres s’en vont…

-Je ;

-" Bon loin ! Attention à vos connectes !"-

-2 salut ceux qui partent, se rassied, puis s’explique ;

-" En fait, je ne connais que trop peu la personne que j’ai évoqué, je ne sais son nom et, seul son corps reste houleux dans mon esprit. "-

-Je ;

-"Les vagues de son corps ? "-

-2 ;

-" En dehors de notre corps, y a t’il autre chose que nous ayons vraiment ?

Crois-tu, que posséder quelque chose ou quelqu'un peut donner plus de développement à nos limites ? "-

-Je ;

-" Il y a quelques infinièmes, tu m’as dit des choses comme ;

‘Le hasard n’existe que pour ceux qui l’ignorent’. Ainsi que : ‘un Amour éternel ne prolonge que sa fin’… "-

-2 ;

-" Entends-je là, que mes devoirs d’évolutions doivent souffrir avec l’entrevue de ton ‘opinion’ "-

Dit-il, en indiquant aux pièces animées de son jeu d’aller se ranger dans leurs casiers.

Hors, l’une d’entre elle fait volte-face et s’exprime, à l’attention de 2 ;

-" Je ne prétend pas être meilleur que toi, il t’écoute et t’aperçoit avec les conclusions qu’il peut comprendre. Ce n’est pas évaluatif ! Je ne voit simplement pas quel type de réaction te mène vraiment et, il subodore chez toi un emploi inutile de l’épreuve pour assouvir un vice assiégeant progressivement tes sentiments. "-

-2, vers le pion animé ;

-" Tu n’as surtout que mes affres à contredire ! "-

-Je, vers 2 ;

-" Je crains justement de ne pas comprendre ces affres, dont tu fais Confession… "-

-2 ;

-" Je dois bien reconnaître que tu tiens fortement à ton rôle d’animateur de la justesse et que, si nos ‘Paradis’ diffèrent, nos ‘Enfers’ aussi !"-

Apathique, 2 se lève la main tendue, le regard distrait en quittant l’endroit, en redonnant la pièce parlante du jeu… Je le regarde s’en aller après l’avoir salué, avec le simulacre d’une idée pouvant en cacher une autre.

Le pion animé se débattant dans sa main, Je ne peut que conclure qu’ après s’être autant retrouvés pour jouer aux Échecs, au bout de tant d’histoires entre eux : Je croit vraiment que ‘tous’ ont fini par glisser dans le résultat du jeu lui-même sans s’en rendre compte ...